Il virus buono (The good virus)
« Ce livre parle d’hommes, de virus et de choix difficiles. Et aussi sur la façon dont l’adversaire peut parfois sembler plus féroce et sanguinaire, ou au contraire plus inoffensif et pacifique, qu’il ne l’est réellement. »
L’immunologiste Guido Silvestri est l’un des plus grands spécialistes mondiaux du virus VIH. Avec Burioni, il a inventé le pacte transdisciplinaire pour la science.
Dans ce livre, Guido Silvestri introduit le lecteur dans la relation complexe et fascinante entre l’organisme humain et le virus, expliquant par la métaphore d’une stratégie de guerre réussie comment, dans la vision scientifique moderne, cette relation doit trouver son équilibre entre lutte et coexistence pacifique. Des notions scientifiques (de microbiologie, de génétique, d’immunologie et de virologie) et des allusions à l’histoire de la virologie se mêlent aux expériences personnelles de l’auteur et à des observations nécessaires sur l’importance de la méthode scientifique et de la recherche, sur l’éthique de la médecine et sur la vocation de ceux qui la pratiquent, pour donner vie à un livre qui sera une voix de premier plan dans un débat plus actuel.
Guido Silvestri est professeur titulaire et directeur de la division de microbiologie et d’immunologie au Centre national de recherche sur les primates Yerkes. Il détient également le titre prestigieux d’éminent universitaire de la Georgia Research Alliance en pathologie comparative et dirige le département de pathologie de l’Université Emory à Atlanta. Depuis 1993, il participe à des études sur la pathogenèse, la prévention et le traitement du SIDA. Il est membre du Consortium pour l’étude des vaccins contre le SIDA chez les primates non humains, du Collaboratorium de recherche pour l’éradication du SIDA et du Centre pour l’immunologie des vaccins contre le VIH/SIDA et la découverte d’immunogènes, avec des financements de la Fondation Bill & Melinda Gates et de la Foundation for AIDS Research (amfAR). Il compte 233 articles publiés dans ce domaine. Ses travaux ont été cités 19 000 fois et ont été présentés lors de sessions plénières des principales conférences sur le VIH/SIDA, telles que la Conférence sur les rétrovirus et les opportunités (CROI), la Société internationale du sida et les symposiums Keystone, et a été invité à des séminaires dans pas moins de 27 pays.
