Villa Mannara

Federico Rossi vit avec sa mère Sara et son compagnon, le Maréchal des Carabinieri Giovanni Milazzo. Federico fait sa rentrée au collège et n’a pas d’amis. Il finit par se lier d’amitié avec Driss, Italien de naissance et dont les parents sont marocains. Pour se faire remarquer, ils décident de se pencher sur la disparition d’une vieille dame. Pendant leurs excursions à vélo les après-midis, ils dessinent une carte répertoriant six endroits idéaux pour pouvoir jouer au foot, qu’ils nomment respectivement : San Siro, Amsterdam Arena, Allianz Arena, Santiago Bernabeu, Olimpico et, le meilleur de tous : le Maracanà. Un jour, en jouant au Maracanà, leur ballon a atterri dans le jardin d’une villa très inquiétante. Le hurlement persistant dans le bois d’un loup, ou peut-être d’un chien, donne aux deux amis l’idée de la surnommer « Villa Mannara ». Les garçons récupèrent le ballon dans le jardin de la Villa Mannara et rencontrent la maîtresse de maison, un personnage étrange et énigmatique, sans aucun doute coupable d’avoir enlevé la vieille femme disparue. Les garçons sont décidés à la démasquer. Une nuit, en creusant certains trous recouverts dans le jardin de la villa, ils tombent dans un trou profond, un abri anti-aérien construit durant la Seconde Guerre mondiale dans lequel ils retrouvent la fameuse vieille dame disparue. L’unique issue de sortie est un tunnel menant directement au bois en aval, près du fleuve. Mais quelqu’un les attend, le vrai ravisseur, qui les enferme dans une maisonnette abandonnée au beau milieu du bois. Ce sera le supposé loup, qui s’avère en fait être un chien de traîneau, qui aidera le Maréchal Milazzo à libérer les deux garçons et à résoudre cette affaire.
Une histoire d’amitié sur fond de chasse au coupable.
La plume fraîche et directe d’une auteur passionnée de polars.