Vedo nero. 90 storie su tutto ciò che è nero

Quand il n’y avait rien, avant le Big Bang, tout était noir. Et, quand tout sera fini, et que le dernier éteindra la lumière en s’en allant, tout sera à nouveau plongé dans le noir. Quasiment à mi-chemin entre le début et la fin, on retrouve ce livre, il n’est pas noir, mais parle du noir. Page après page, on retrouve quatre-vingt-dix morceaux de noir, qui se succèdent dans un ordre dispersé, mais seulement en apparence. Des récits, des anecdotes, des mémos, des idées, des aphorismes et des réflexions qu’on laissera se développer dans l’imagination du lecteur. Voilà, si tu es en train de le lire, tu peux essayer de le lire dans l’obscurité pour voir ce que cela donne, mais je me rends bien compte que ça peut être difficile à faire. Et si quelqu’un venait à allumer la lumière à l’improviste et te surprenait le nez collé au beau milieu des pages ? Quelle frousse, pas vrai ? Alors, aucun souci, tu peux le lire la lumière allumée, de toute façon, le noir n’est pas une couleur, et il n’est probablement pas si sombre que l’on pourrait le penser… Obscur, pourquoi pas, où c’est encore peut-être là une idée à laquelle nous nous sommes tous habitués.
Quatre-vingt-dix histoires pour sourire ou frissonner, en explorant tout ce qui est noir : le manteau noir, la lune noire, Barbe-Noire, la tribu des pieds noirs, les yeux noirs, le mouton noir, l’araignée noire, les pions d’échec noirs…