Neon Brothers
Selon le nouveau livre d’Alice Berti, cela signifie vivre sans trop d’espoir pour l’avenir, sans aucune garantie de succès, mais avec un sens profond de la révolution et de l’amitié.
Dans un Londres post-Brexit (pas trop) dystopique, il y a deux options : vous pouvez choisir de vivre une vie « bourgeoise » en travaillant pour l’une des multinationales, mais en acceptant toutes leurs conditions, ou vous pouvez choisir d’être libre, sachant que le seul espoir de survie réside dans les combats de rue entre gangs, strictement contrôlés par la Fédération, une association qui parie sur ces combats.
Alice a donné vie à six personnages uniques, qui donnent voix aux incertitudes de la génération Z : un thème actuel et puissant, rendu encore plus irrésistible par les références ultra-pop aux jeux vidéo des années 1990 et les hommages au genre Shōnen-manga.
Le résultat ? Un hymne générationnel très personnel, entre réalisme et dystopie, parsemé de réminiscences de Scott Pilgrim, Les Guerriers de la Nuit, The End of the F*****g world, Hunger Games et même du style caractéristique des Gorillaz.
L’action, la camaraderie et les liens humains profonds sont les défenses les plus efficaces contre le cynisme le plus absolu, qui prépare un paradis soporifique pour ceux qui savent rester à leur place, et un purgatoire pour ceux qui ont renoncé à changer les choses.
Après avoir obtenu un diplôme en graphisme publicitaire, Alice Berti s’est rapprochée de la bande dessinée grâce à quelques nouvelles publiées dans des magazines indépendants et à l’illustration de plusieurs affiches pour des projets de films et de radio. En 2020, son premier roman graphique, Neon Brothers est publié par BAO Publishing. Elle affectionne tout particulièrement Andy Warhol, les concerts et les disques vinyles.
